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De quoi faire battre mon cœur
 
4ème passage de Clarika à Beaucourt et depuis 1993, date de son premier album, on peut dire qu'elle aura ouvert la "voix" à plus d'une chanteuse...
Son 7ème album n'a pas laissé la presse insensible. Avec ce nouvel opus, Clarika s’éloigne de ses habituels repères et multiplie les nouvelles collaborations... Son jeu singulier de fragilité et d’acidité, sa manière de retourner les mythes de la chanson de fille, eh bien ce n’était pas la carte d’identité d’une génération, c’était bien elle, Clarika.
 
De quoi faire battre mon cœur est prétexte à renouveau : changement de ton, d’ambiances et d’équipe, pour prendre le pari de tout chambouler, abandonner le confort des habitudes, quitte à se mettre en danger. Pour la première fois, l’album a été concocté sous la houlette du réalisateur, arrangeur, compositeur et musicien Fred Pallem (Le Sacre du Tympan), avec la complicité de Raoul Tellier (La Maison Tellier), les deux principaux compositeurs. Au fil des plages, on croise aussi Mathieu Boogaerts, Skye, Claire Joseph, Alexis HK, Tony Melvil et même Jean-Jacques Nyssen, crédité de deux titres. Des chansons à la grave légèreté (l’émouvante Je ne te dirai pas, sans doute l’un des plus beaux textes de Clarika, La vie sans toi, Rien de nous, Dire qu’à cette heure, en duo avec Alexis HK), traversées de souvenirs turbulents (On a fait, Le Choix) et de métaphores éloquentes comme dans La Cible, en duo avec Helmut Tellier, évocation sous chapiteau d’un amant maladroit lanceur de couteau, L’Inaperçue, portrait d’une fille transparente, ou Le Lutétia, inspirée de l’histoire vraie d’un couple âgé venu finir ses jours dans le palace parisien.
Dans les nouvelles chansons de Clarika, il y a des pluies de cordes venues de Budapest, des traversins de clavecins, des basses gainsbouriennes, des guitares tartares et des claviers vintage. Comme la BO d’un grand film moderne qui raconterait la vie et les amours qui passent, avec des cœurs qui battent à l’unisson, le sien et les nôtres.
 
Voilà un moment que Clarika n’avait pas à ce point touché l’essentiel. Télérama
 
La chanteuse à la palette multiple et au tempérament affirmé fait coup double avec un grand disque et des concerts renversants. Télérama Sortir
 
Comme une petite nièce de Souchon, Clarika déballe un sens de l’écriture agile. Les Inrockuptibles
 
Les musiciens :
Clarika : chant
Jérémie Pontier : batterie, clavier
Fanny Rome : violon, clarinette, trombone, claviers, trompette
Ludovic Leleu : guitare, basse